
Dessert traditionnel japonais (ou plutôt le gâteau en accompagnement du thé). On en trouve aujourd’hui de nombreuses déclinaisons de garnitures européanisées (à la pate à tartiner ou à la confiture) mais le classique et authentique reste celui à la pate de haricot rouge (anko). On peut faire la pate de haricot rouge maison ou l’acheter en épicerie asiatique pour se simplifier la vie. Les mochis daifuku se servent bien frais et ne sont vraiment pas compliqués à réaliser même si la présentation n’est pas toujours au top (je ne suis vraiment pas fier de ma photo qui ne fait pas envie mais j’en ai cuisiné plusieurs fois depuis et je me suis amélioré 🙂 ).
Pour environ 10 mochis
- 150 g de farine de riz gluant
- 120 g de sucre glace
- 200 ml d’eau
- 100 g d’anko ou de garniture de votre choix (ganache au chocolat, pate à tartiner, confiture…)
- 50 g de maïzena
Dans un bol micro-ondable, mélanger la farine, le sucre glace et l’eau. Bien mélanger, on obtient une pate homogène (consistance de pate à crêpe).
Mettre au micro-onde pour 4min30. Pendant ce temps, préparer 10 petites boules avec la garniture (taille d’une noix).
Mélanger de nouveau la pate à la sortie du micro-onde et l’y remettre 3min30.
Former une grosse boule et saupoudre avec la maïzena.
J’attends ensuite que la pate refroidisse un peu sinon elle est bien trop dure à travailler sans se brûler 🙂 .
Prendre un peu de pate et l’aplatir dans la paume de la main. Y déposer la garniture et refermer le mochi. C’est là que c’est délicat entre la pate collante et la difficulté d’avoir un joli rendu… Le mochi doit avoir à peu près la taille d’une balle de ping pong.
Recommencer l’opération jusqu’à épuisement de la pate.
Mettre les mochis au réfrigérateur et les déguster quelques heures plus tard ou le lendemain maximum (après ils s’assèchent et ne sont plus aussi bons).
Alors ? Mochis Daifuku ce soir ?
